MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES
Certaines déclarations faites dans la présentation qui suit constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations comprennent, sans s’y limiter, des déclarations concernant l’orientation financière de BCE (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l’intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le dividende sur actions ordinaires annualisé de BCE pour 2024, la cession proposée de Northwestel, l'utilisation prévue par Bell Canada du produit de la cession proposée, la baisse prévue des dépenses d’investissement de BCE en 2024, les attentes de croissance plus élevée des produits tirés des services et du BAIIA ajusté consolidés pour le reste de l’exercice 2024, la mesure dans laquelle le produit de la cession proposée de Northwestel devrait améliorer le ratio de levier financier de BCE, les perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques de BCE, ainsi que d’autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, projet, stratégie, cible, engagement et d’autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser, s’attendre à, croire, prévoir, avoir l’intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux « dispositions refuges » prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of 1995.
Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l’objet de risques et d’incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon significative des attentes exprimées ou sous entendues dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le fait de s’appuyer sur ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans la présentation qui suit décrivent nos attentes en date du 1er août 2024 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois applicables en matière de valeurs mobilières l’exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans la présentation qui suit, même à la suite de l’obtention de nouveaux renseignements ou de l’occurrence d’événements futurs, ni pour toute autre raison. Nous envisageons régulièrement des opérations potentielles comme des acquisitions, des cessions, des fusions, des regroupements d’entreprises, des investissements, des monétisations, des coentreprises ou d’autres transactions, qui pourraient être importantes. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l’effet potentiel de telles opérations ni d’éléments exceptionnels qui pourraient être annoncés ou survenir après le 1er août 2024. L’incidence financière de ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s’avérer complexe et dépend de faits particuliers à chacun d’eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l’incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans la présentation qui suit sont présentées dans le but d’aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus ainsi que nos objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d’autres fins.
Hypothèses importantes
Certaines déclarations prospectives contenues dans la présentation qui suit reposent sur un certain nombre d’hypothèses relatives à l’économie, au marché, à l’exploitation et à la finance formulées par BCE, notamment, sans s’y limiter, les hypothèses qui suivent.
Hypothèses relatives à l’économie canadienne
Nos déclarations prospectives reposent sur certaines hypothèses concernant l’économie canadienne. Plus particulièrement, nous nous sommes appuyés sur les hypothèses suivantes :
- une croissance économique modeste, étant donné la plus récente estimation de la Banque du Canada en ce qui concerne la croissance de 1,2 % du produit intérieur brut canadien pour 2024, ce qui représente une baisse par rapport à l’estimation précédente de 1,5 %;
- une inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC) qui ralentit, la politique monétaire contribuant à réduire les pressions inflationnistes;
- un allègement des conditions sur le marché de l’emploi;
- une augmentation des dépenses des consommateurs, car la baisse des taux d’intérêt facilite le paiement des dettes;
- une croissance des investissements des entreprises soutenue par l’assouplissement de la situation financière et la croissance globale de l’économie;
- des taux d’intérêt qui devraient demeurer aux niveaux observés actuellement ou près de ces niveaux;
- une augmentation de la population en raison de l’immigration;
- un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de l’incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d’intérêt et des variations des prix des marchandises.
Hypothèses relatives au marché canadien
Nos déclarations prospectives reflètent également diverses hypothèses relatives au marché canadien. En particulier, nous avons formulé les hypothèses relatives au marché suivantes :
- l’intensité accrue de la concurrence dans le marché résidentiel, le marché d’affaires et le marché de gros des services sur fil et sans fil;
- une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de pénétration du secteur du sans fil;
- un effritement du marché des services de connectivité pour les services voix et données, dans la foulée de la migration de la clientèle d’affaires vers des solutions de télécommunications à plus faible prix ou des services par contournement offerts par des concurrents;
- le marché publicitaire canadien dans le secteur de la télévision et de la radio traditionnel qui connaît un ralentissement reflétant les tendances du marché publicitaire mondial, une amélioration étant attendue à moyen terme, même s’il reste difficile de prévoir le moment exact où elle aura lieu et son rythme;
- la diminution de la clientèle d’abonnés des entreprises de distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par l’intensification de la concurrence découlant du lancement constant de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par abonnement (VSDA) et de l’expansion des agrégateurs de services par contournement.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell SCT
Nos déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses relatives aux activités d’exploitation internes suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell SCT :
- l’augmentation de notre part du marché des ajouts nets d’abonnés des services utilisant des téléphones mobiles dans le sans-fil pour les exploitants nationaux;
- l’accroissement de l’intensité de la concurrence et des activités promotionnelles dans toutes les régions et tous les segments de marché;
- la poursuite de l’expansion et du déploiement du réseau sans fil 5G et du réseau sans fil 5G+, tout en offrant une couverture et une qualité concurrentielles;
- la poursuite de la diversification de notre stratégie de distribution, en mettant l’accent sur l’accroissement des transactions directes avec le consommateur et en ligne;
- dans le rapport de gestion annuel 2023 de BCE, nous avions présenté notre hypothèse indiquant un ralentissement de la croissance du RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles. Actuellement, notre hypothèse indique la baisse du RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles, en raison des pressions concurrentielles sur les prix plus élevées que prévu qui se sont intensifiées progressivement au cours du premier trimestre de 2024 et qui se sont maintenues depuis la période de vente saisonnière plus intense au T4 2023;
- l’adoption continue par la clientèle d’affaires de solutions évoluées 5G, 5G+ et Internet des objets (IdO);
- l’accroissement de la disponibilité des combinés sans fil et la stabilité des prix des appareils et des marges connexes;
- la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la connexion directe d’un plus grand nombre de foyers et d’entreprises dans la zone de couverture des services sur fil, mais à un rythme plus lent qu’au cours des exercices 2020 à 2023;
- la croissance continue du nombre d’abonnés des services Internet et de télé IP de détail;
- l’accentuation de la substitution technologique par le sans-fil et les services Internet;
- l’accent soutenu mis sur l’offre de forfaits de services résidentiels et familiaux à l’intention de la clientèle des services mobiles et Internet;
- la migration continue des grandes entreprises clientes vers les systèmes sur IP;
- les pressions continues de la concurrence visant à modifier les prix dans nos marchés d’affaires et de gros;
- le maintien de l’intensité de la concurrence dans nos marchés des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et d’autres entreprises de télécommunications continuant de cibler la clientèle d’affaires;
- la mise à l’épreuve des catégories de produits qui génèrent habituellement des marges élevées par l’offre, en croissance au Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de solutions d’affaires pour la transmission de la voix et de données au moyen de services en nuage et par contournement;
- l’adoption plus généralisée par les abonnés des services par contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
- la consommation croissante des services de télé par contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau d’investissements constant;
- la réalisation d’économies de coûts du fait de l’efficacité opérationnelle découlant de notre zone de couverture du réseau de fibre au moyen de connexions directes, des changements liés aux comportements des consommateurs et à l’innovation au chapitre des produits, de l’adoption du numérique, des améliorations des produits et des services, de l’expansion des fonctions libre-service, des investissements dans de nouveaux centres d’appels et dans le numérique, d’autres améliorations au chapitre de l’expérience en matière de service à la clientèle, de la réduction du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs naturels et de départs à la retraite, et de la réduction des taux contractuels des fournisseurs;
- l’absence d’incidence défavorable significative de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications ou de l’application de la réglementation sur nos activités liées aux services de communications et de technologies.
Hypothèses relatives à notre secteur Bell Média
Nos déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses relatives aux activités d’exploitation internes suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
- des produits liés au contenu numérique totaux qui devraient refléter la mise à profit continue de notre outil de gestion stratégique des audiences (SAM) télévisuelles et des plateformes d’achats (plateforme côté demande), l’expansion du service de télévision adressable, ainsi que la croissance du nombre d’abonnés aux services de diffusion directement aux consommateurs qui devrait contribuer à la mise en œuvre de notre stratégie des médias numériques d’abord;
- la mise à profit de données internes pour améliorer le ciblage, la prestation de services publicitaires, y compris une expérience de visionnement personnalisée, et l’attribution;
- la croissance continue des coûts liés aux médias pour obtenir du contenu de qualité;
- l’exploitation continue de Crave grâce à une offre de contenu optimisée, à l’amélioration de l’expérience utilisateur et à l’élargissement de la distribution;
- un soutien continu du contenu original en français privilégiant les plateformes numériques comme Crave, Noovo.ca et iHeartRadio Canada, pour mieux servir notre clientèle francophone en lui offrant une expérience numérique personnalisée;
- la capacité d’acquérir et de produire avec succès du contenu à cotes d’écoute élevées et différencié;
- l’établissement et le maintien d’ententes stratégiques relativement à l’approvisionnement en contenu sur tous les écrans et toutes les plateformes;
- l’absence d’incidence défavorable significative de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications ou de l’application de la réglementation sur nos activités dans notre secteur des médias.
Hypothèses financières relatives à BCE
Nos déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses financières internes suivantes concernant BCE pour 2024 :
- un coût des services rendus au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi estimatif d’environ 215 millions $;
- un rendement net au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi estimatif d’environ 70 millions $;
- une dotation aux amortissements d’environ 5 050 millions $ à 6 000 millions $;
- des charges d’intérêts d’environ 1 700 millions $ à 1 750 millions $;
- des intérêts payés d’environ 1 750 millions $ à 1 800 millions $;
- un taux d’imposition moyen effectif d’environ 25 %;
- des participations ne donnant pas le contrôle d’environ 60 millions $;
- des cotisations aux régimes d’avantages postérieurs à l’emploi d’environ 55 millions $;
- des paiements en vertu de régimes d’autres avantages postérieurs à l’emploi d’environ 60 millions $;
- des impôts payés (déduction faite des remboursements) d’environ 700 millions $ à 800 millions $;
- un nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation de BCE d’environ 912 millions;
- un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,99 $ par action.
Hypothèses sous-tendant le maintien prévu de la suspension des cotisations à la plupart de nos régimes de retraite en 2024
Nous avons posé les hypothèses principales suivantes qui sous-tendent le maintien prévu de la suspension des cotisations à la plupart de nos régimes de retraite en 2024 :
- au moment opportun, la situation de capitalisation de nos régimes de retraite à prestations définies correspondra à des excédents évalués sur une base de continuité et les ratios de solvabilité demeureront supérieurs aux exigences minimales prévues par la loi pour une suspension des cotisations pour les composantes prestations définies et cotisations définies, selon ce qui s’applique;
- aucune détérioration importante de la situation financière de nos régimes de retraite à prestations définies en raison d’une diminution du rendement des placements ou des taux d’intérêt;
- l’absence de pertes actuarielles importantes découlant d’autres événements, comme un litige ou un changement dans les lois, les réglementations ou les normes actuarielles.
Les hypothèses ci-dessus, bien qu’elles soient considérées comme raisonnables par BCE en date du 1er août 2024, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante des attentes exprimées dans la présentation qui suit.
Risques importants
Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon significative de ceux qui sont exprimés ou sous entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière 2024, sont énumérés ci après. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre nos résultats financiers cibles pour 2024, dépend essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est prié de noter que les risques qui suivent pourraient avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s’y limiter : l’effet négatif de la conjoncture économique défavorable, y compris un risque de récession, l’inflation élevée, l’augmentation des taux d’intérêt et la volatilité des marchés des capitaux et des marchés financiers, et l’incidence négative connexe sur les dépenses des entreprises et des consommateurs ainsi que sur la demande de nos produits et services; l’effet négatif du contexte défavorable lié aux événements géopolitiques; les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires ainsi que les consultations gouvernementales et les positions gouvernementales qui nous nuisent et qui influent sur nos activités, notamment en ce qui a trait à l’accès obligatoire aux réseaux, aux ventes aux enchères de spectre, à l’imposition de codes de conduite à l’égard des consommateurs, à l’approbation d’acquisitions, à l’octroi de licences de radiodiffusion et de spectre, aux exigences relatives à la propriété étrangère, aux obligations liées à la protection de la vie privée et à la cybersécurité et au contrôle du piratage des droits d’auteur; l’incapacité à mettre en œuvre des cadres de conformité améliorés et à respecter les obligations légales et réglementaires; un règlement défavorable des litiges; l’intensité de l’activité de nos concurrents et l’incapacité à réagir efficacement à la dynamique concurrentielle en pleine évolution; le rythme de substitution technologique et la présence d’autres fournisseurs de services qui contribuent aux perturbations et à la désintermédiation dans chacun de nos secteurs d’activité; l’évolution des habitudes de la clientèle et l’expansion des services en nuage et par contournement et autres solutions; les pressions sur le marché de la publicité découlant de la conjoncture économique, de la fragmentation et des services numériques non traditionnels ou mondiaux; l’augmentation des coûts du contenu et les obstacles à notre capacité à acquérir ou à concevoir du contenu de premier plan; la hausse du taux de pénétration d’Internet et des téléphones intelligents au Canada; l’incapacité à faire évoluer et à transformer nos réseaux, nos systèmes et nos activités au moyen de technologies de prochaine génération tout en aplanissant notre structure de coûts, y compris l’incapacité de faire la transition d’une société de télécommunications traditionnelle à une société de services technologiques et de médias numériques et de répondre aux attentes de la clientèle en ce qui a trait aux produits et à l’expérience en matière de service à la clientèle; l’incapacité à créer une expérience client positive; l’incapacité à protéger nos actifs corporels et incorporels contre des événements comme des atteintes à la sécurité de l’information, l’accès ou l’entrée non autorisés, des incendies et des catastrophes naturelles; l’incapacité à mettre en place un cadre de gouvernance des données efficace; l’incapacité à attirer, à perfectionner et à conserver une équipe diversifiée et talentueuse capable de faire avancer nos impératifs stratégiques et notre transformation en une société de haute technologie; l’incidence négative sur le moral et l’engagement des membres du personnel des réductions de personnel, des réductions de coûts ou des restructurations et de la diminution du niveau de priorité attribué aux initiatives de transformation découlant des réductions de personnel, des réductions de coûts ou des restructurations; l’incapacité à gérer adéquatement les préoccupations de santé et de sécurité; les interruptions de travail et les pénuries de main-d’œuvre; le risque que nous puissions devoir engager des dépenses d’investissement importantes afin de fournir une capacité supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux; les interruptions de service ou les pannes en raison de pannes et de ralentissements de réseau; les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos systèmes de technologies de l’information (TI), de notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir, à les remplacer et à les mettre à niveau; l’incapacité d’autres entreprises de télécommunications sur lesquelles repose la prestation de nos services, à effectuer les tests, la maintenance, les remplacements ou les mises à niveau prévus et appropriés de leurs réseaux, de leur matériel et d’autres installations, ce qui pourrait entraîner une interruption de nos activités, notamment par suite de défaillances du réseau ou d’autres infrastructures; la complexité de nos activités et de nos systèmes de TI et l’incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des processus et des systèmes de TI très performants; les risques liés au matériel en orbite et les autres risques opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour fournir notre service de télé par satellite; l’incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les dépenses d’investissement et soutenir la croissance planifiée; l’impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés ou que le dividende sur actions ordinaires sera majoré par le conseil d’administration de BCE; l’incapacité à réduire les coûts et à évaluer adéquatement les priorités en matière d’investissement, ainsi que toute augmentation imprévue de coûts; l’incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité et de marché; l’incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d’effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses; des impôts nouvellement exigés ou plus élevés découlant de l’adoption de nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales existantes ou à leur interprétation, et l’incapacité à prévoir l’issue des audits gouvernementaux; l’incidence d’un certain nombre de facteurs sur nos états financiers et nos estimations; la volatilité des obligations au titre des prestations de retraite et la hausse des cotisations aux régimes d’avantages postérieurs à la retraite; notre dépendance aux tiers fournisseurs, aux impartiteurs et aux consultants qui nous fournissent de façon ininterrompue les produits et services dont nous avons besoin; la défaillance de nos processus de sélection, de gouvernance et de surveillance des fournisseurs, y compris notre gestion du risque lié aux fournisseurs en ce qui a trait à la sécurité, à la gouvernance des données et à l’approvisionnement responsable; la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans laquelle ils peuvent comporter des défauts ou ne pas être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux applicables; les risques de réputation et l’incapacité à tenir compte des facteurs environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) de façon pertinente dans notre stratégie d’affaires et nos activités; l’incapacité à prendre les mesures appropriées pour nous adapter aux répercussions environnementales actuelles et émergentes, y compris les changements climatiques; les pandémies, épidémies et autres risques pour la santé, y compris les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils et des équipements de communications sans fil; l’incapacité à gérer adéquatement les enjeux sociaux; l’incapacité à développer et à mettre en œuvre suffisamment de pratiques de gouvernance d’entreprise; l’incidence négative de divers facteurs internes et externes sur notre capacité à atteindre nos objectifs ESG, y compris, sans s’y limiter, ceux liés à la réduction des émissions de gaz à effet de serre et à la diversité, à l’équité, à l’inclusion et à l’appartenance; et la conclusion de la cession proposée de Northwestel, qui est assujettie à des conditions de clôture, y compris l’obtention du financement par l’acheteur, la réalisation d’un audit préalable de confirmation et l’obtention de l’approbation du Bureau de la concurrence, et pour laquelle rien ne garantit par conséquent qu’elle se concrétisera ultimement ou qu’elle aura lieu selon les modalités actuellement envisagées.
Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n’est pas exhaustive et que d’autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous encourageons les investisseurs à lire également le rapport de gestion annuel de 2023 de BCE daté du 7 mars 2024, les rapports de gestion du premier et du deuxième trimestre de 2024 de BCE, respectivement datés du 1er mai 2024 et du 31 juillet 2024 et le communiqué de presse de BCE daté du 1er août 2024 annonçant ses résultats financiers pour le deuxième trimestre de 2024 pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d’autres facteurs de risque et hypothèses, lesquels sont déposés par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières (disponibles à
sedarplus.ca) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à
sec.gov). Ce document est également disponible à
BCE.ca.