Téléconférence sur les résultats de BCE pour le T3 2023

MISE EN GARDE CONCERNANT LES DÉCLARATIONS PROSPECTIVES

Certaines déclarations faites dans la présentation qui suit constituent des déclarations prospectives. Ces déclarations comprennent, sans s’y limiter, des déclarations concernant l’orientation financière de BCE (ce qui comprend les produits des activités ordinaires, le BAIIA ajusté, l’intensité du capital, le BPA ajusté et les flux de trésorerie disponibles), le dividende sur actions ordinaires annualisé de BCE pour 2023, les dépenses d’investissement prévues de BCE pour le quatrième trimestre de 2023, les plans en matière de déploiement du réseau de BCE et de dépenses d’investissement prévues ainsi que les avantages qui devraient en découler, l’acquisition proposée des activités canadiennes d’OUTFRONT Média, les prévisions d’augmentation, d’un exercice à l’autre, des flux de trésorerie disponibles de BCE au quatrième trimestre de 2023, les perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques de BCE, ainsi que d’autres déclarations qui ne sont pas des faits historiques. Habituellement, les termes comme hypothèse, but, orientation, objectif, perspective, projet, stratégie, cible, engagement et d’autres expressions semblables, ainsi que les temps et les modes comme le futur et le conditionnel de certains verbes tels que viser, s’attendre à, croire, prévoir, avoir l’intention de, planifier, chercher à et aspirer à, permettent de repérer les déclarations prospectives. Toutes ces déclarations prospectives sont faites conformément aux « dispositions refuges » prévues dans les lois canadiennes applicables en matière de valeurs mobilières et dans la loi américaine Private Securities Litigation Reform Act of 1995.

Les déclarations prospectives, du fait même de leur nature, font l’objet de risques et d’incertitudes intrinsèques et reposent sur plusieurs hypothèses, tant générales que précises, donnant lieu à la possibilité que les résultats ou les événements réels diffèrent de façon significative des attentes exprimées ou sous entendues dans ces déclarations prospectives et que nos perspectives commerciales, objectifs, plans et priorités stratégiques ne soient pas atteints. Ces déclarations ne représentent pas une garantie de la performance ni des événements futurs, et nous mettons en garde le lecteur contre le risque que représente le fait de s’appuyer sur ces déclarations prospectives. Les déclarations prospectives qui figurent dans la présentation qui suit décrivent nos attentes en date du 2 novembre 2023 et, par conséquent, pourraient changer après cette date. Sauf dans la mesure où les lois applicables en matière de valeurs mobilières l’exigent, nous ne nous engageons aucunement à mettre à jour ou à réviser les déclarations prospectives figurant dans la présentation qui suit, même à la suite de l’obtention de nouveaux renseignements ou de l’occurrence d’événements futurs, ni pour toute autre raison. Nous envisageons régulièrement des opérations potentielles comme des acquisitions, des cessions, des fusions, des regroupements d’entreprises, des investissements, des monétisations, des coentreprises ou d’autres transactions, qui pourraient être importantes. Sauf indication contraire de la part de BCE, les déclarations prospectives ne tiennent pas compte de l’effet potentiel de telles opérations ni d’éléments exceptionnels qui pourraient être annoncés ou survenir après le 2 novembre 2023. L’incidence financière de ces transactions et de ces éléments exceptionnels peut s’avérer complexe et dépend de faits particuliers à chacun d’eux. Nous ne pouvons donc décrire de manière significative l’incidence prévue ni la présenter de la même façon que les risques connus touchant nos activités. Les déclarations prospectives qui figurent dans la présentation qui suit sont présentées dans le but d’aider les investisseurs et les autres parties à comprendre certains éléments clés de nos résultats financiers prévus ainsi que nos objectifs, priorités stratégiques et perspectives commerciales, et à mieux comprendre le contexte dans lequel nous prévoyons exercer nos activités. Le lecteur est donc mis en garde contre le fait que cette information pourrait ne pas convenir à d’autres fins.


Hypothèses importantes

Certaines déclarations prospectives contenues dans la présentation qui suit reposent sur un certain nombre d’hypothèses relatives à l’économie, au marché, à l’exploitation et à la finance formulées par BCE, notamment, sans s’y limiter, les hypothèses qui suivent.


Hypothèses relatives à l’économie canadienne

Nos déclarations prospectives reposent sur certaines hypothèses concernant l’économie canadienne. Plus particulièrement, nous nous sommes appuyés sur les hypothèses suivantes :
  • un ralentissement de la croissance économique, étant donné la plus récente estimation de la Banque du Canada en ce qui concerne la croissance de 1,2 % du produit intérieur brut canadien pour 2023, ce qui représente une baisse par rapport à l’estimation précédente de 1,8 %;
  • une inflation mesurée par l’indice des prix à la consommation (IPC) qui ralentit, mais qui demeure élevée, l’effet des dernières hausses des taux d’intérêt se faisant sentir sur l’ensemble de l’économie;
  • une atténuation des pressions sur le marché de l’emploi;
  • une faible croissance des dépenses des ménages, en raison des répercussions continues des taux d’intérêt élevés et de l’augmentation du coût de la vie;
  • une faible croissance des investissements des entreprises en raison des coûts d’emprunt élevés, du resserrement des conditions de crédit et des prévisions de ralentissement de l’activité économique;
  • des taux d’intérêt qui demeurent aux niveaux élevés observés actuellement ou près de ces niveaux;
  • une augmentation de la population en raison de la hausse de l'immigration;
  • un dollar canadien qui devrait se maintenir près de son niveau actuel. Toute nouvelle fluctuation pourrait être tributaire de l’incidence de la vigueur du dollar américain, des taux d’intérêt et des variations des prix des marchandises.

Hypothèses relatives au marché canadien

Nos déclarations prospectives reflètent également diverses hypothèses relatives au marché canadien. En particulier, nous avons formulé les hypothèses relatives au marché suivantes :
  • l’intensité accrue de la concurrence dans le marché résidentiel, le marché d’affaires et le marché de gros des services sur fil et sans fil;
  • une hausse, à un rythme toutefois moins rapide, du taux de pénétration du secteur du sans fil;
  • un effritement du marché des services de connectivité pour les services voix et données, dans la foulée de la migration des clients d’affaires vers des solutions de télécommunications à plus faible prix ou des services par contournement offerts par des concurrents;
  • le marché publicitaire canadien qui connaît un ralentissement reflétant les tendances à l’œuvre dans le marché publicitaire mondial, une amélioration étant attendue à moyen terme, quoiqu’il soit toujours difficile de prévoir avec précision le moment et le rythme de la reprise;
  • la diminution de la clientèle d’abonnés des entreprises de distribution de radiodiffusion (EDR) provoquée par l’intensification de la concurrence découlant du lancement constant de plateformes de diffusion en continu de vidéo sur demande par abonnement (VSDA) et de l’expansion des agrégateurs de services par contournement.

Hypothèses relatives à notre secteur Bell SCT

Nos déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses relatives aux activités d’exploitation internes suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell SCT :
  • le maintien de notre part du marché des ajouts nets d’abonnés des services postpayés utilisant des téléphones mobiles dans le sans-fil pour les exploitants nationaux et une croissance de notre clientèle des services prépayés;
  • l’accentuation de la concurrence intensive et des activités promotionnelles dans toutes les régions et tous les segments de marché;
  • la poursuite de l’expansion et du déploiement des réseaux sans fil de cinquième génération (5G) et 5G+, tout en offrant une couverture et une qualité concurrentielles;
  • la poursuite de la diversification de notre stratégie de distribution, en mettant l’accent sur l’accroissement des transactions directes avec le consommateur et en ligne;
  • le ralentissement de la croissance du RMU combiné des abonnés utilisant des téléphones mobiles découlant de la croissance des abonnements aux services 5G, ainsi que la hausse des produits tirés des services d’itinérance attribuable à l’assouplissement des restrictions en matière de voyages imposées en raison de la pandémie de COVID-19, en partie contrebalancées par la diminution des produits tirés des frais de dépassement de données imputable, entre autres, à la poursuite de l’adoption de plans de services de données illimitées;
  • l’adoption accélérée par les clients d’affaires de solutions évoluées 5G, 5G+ et Internet des objets (IdO);
  • l’accroissement de la disponibilité des combinés et appareils mobiles et la stabilité des prix des appareils et des marges connexes;
  • la poursuite du déploiement du réseau de fibre permettant la connexion directe d’un plus grand nombre de foyers et d’entreprises dans la zone de couverture des services sur fil;
  • la croissance continue du nombre d’abonnés des services Internet et de télé IP de détail;
  • l’accentuation de la substitution technologique par le sans-fil et les services Internet;
  • la poursuite des lancements d’offres accrocheuses de forfaits de services résidentiels par nos concurrents des services de télé par câble dans les zones où nous fournissons des services sur fil locaux, facteur atténué par la croissance de notre part de marché en ce qui a trait aux forfaits de services résidentiels concurrentiels;
  • la migration continue des grandes entreprises clientes vers les systèmes sur IP;
  • les pressions continues de la concurrence visant à modifier les prix dans nos marchés d’affaires et de gros;
  • le maintien de l’intensité de la concurrence dans nos marchés des petites et des moyennes entreprises, les câblodistributeurs et d’autres entreprises de télécommunications continuant de cibler les clients d’affaires;
  • la mise à l’épreuve des catégories de produits qui génèrent habituellement des marges élevées par l’offre, en croissance au Canada, de services sur demande des grands fournisseurs mondiaux de solutions d’affaires pour la transmission de la voix et de données au moyen de services en nuage et par contournement;
  • l’adoption plus généralisée par les abonnés des services par contournement entraînant la réduction des forfaits télé;
  • la consommation croissante des services de télé par contournement et de vidéo en continu sur demande ainsi que la multiplication des appareils, comme les tablettes, qui exigent une bande passante très élevée, ce qui nécessitera un niveau d’investissements constants;
  • la réalisation d’économies de coûts du fait de l’efficacité opérationnelle découlant de l’expansion de la zone de couverture du réseau de fibre au moyen de connexions directes, des changements liés aux comportements des consommateurs et à l’innovation au chapitre des produits, de l’adoption du numérique, des améliorations des produits et des services, de l’expansion des fonctions libre-service, des investissements dans de nouveaux centres d’appels et dans le numérique, d’autres améliorations au chapitre de l’expérience en matière de service à la clientèle, de la réduction du nombre de postes de cadre, notamment à la suite de départs naturels et de départs à la retraite, et de la réduction des taux contractuels des fournisseurs;
  • l’absence d’incidence défavorable significative de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications ou de l’application de la réglementation sur nos activités liées aux services de communications et de technologies.

Hypothèses relatives à notre secteur Bell Média

Nos déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses relatives aux activités d’exploitation internes suivantes en ce qui concerne notre secteur Bell Média :
  • des produits liés au contenu numérique totaux qui devraient refléter la mise à profit continue de notre outil de gestion stratégique des audiences (SAM) télévisuelles et des plateformes d’achats DSP (plateforme côté demande), ainsi que la croissance du nombre d’abonnés aux services de diffusion directement aux consommateurs qui devrait contribuer à la mise en œuvre de notre stratégie des médias numériques d’abord;
  • la croissance continue des coûts du contenu média pour obtenir de la programmation de qualité;
  • le soutien continu à l’adoption des produits de Crave grâce à une offre élargie de contenus, à l’amélioration de l’expérience client et à une distribution rehaussée;
  • la poursuite des investissements dans la programmation originale de Noovo pour mieux servir notre clientèle francophone en leur offrant un vaste éventail de contenu sur leurs plateformes préférées;
  • la mise à profit de données de première main pour améliorer le ciblage, la prestation de services publicitaires et l’attribution;
  • la capacité d’acquérir et de produire avec succès des émissions à cotes d’écoute élevées et du contenu différencié;
  • l’établissement et le maintien d’ententes stratégiques relativement à l’approvisionnement en contenu sur tous les écrans et toutes les plateformes;
  • l’absence d’incidence défavorable significative de nature financière, opérationnelle ou concurrentielle découlant de modifications ou de l’application de la réglementation sur nos activités dans notre secteur des médias.

Hypothèses financières relatives à BCE

Nos déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses financières internes suivantes concernant BCE pour 2023 :
  • un coût des services rendus au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi estimatif d’environ 210 millions $;
  • un rendement net au titre des régimes d’avantages postérieurs à l’emploi estimatif d’environ 100 millions $;
  • une dotation aux amortissements d’environ 4 900 millions $ à 4 950 millions $;
  • des charges d’intérêts d’environ 1 425 millions $ à 1 475 millions $;
  • des intérêts payés d’environ 1 450 millions $ à 1 500 millions $;
  • un taux d’imposition moyen effectif d’environ 26 %;• des participations ne donnant pas le contrôle d’environ 65 millions $;
  • des cotisations aux régimes d’avantages postérieurs à l’emploi d’environ 60 millions $;
  • des paiements en vertu de régimes d’autres avantages postérieurs à l’emploi d’environ 75 millions $;
  • des impôts payés (déduction faite des remboursements) d’environ 800 millions $ à 900 millions $;
  • un nombre moyen pondéré d’actions ordinaires en circulation de BCE d’environ 914 millions;
  • un dividende sur actions ordinaires annuel de 3,87 $ par action.

Hypothèses sous-tendant les réductions prévues des cotisations annuelles à nos régimes de retraite en 2023

Nos déclarations prospectives reposent également sur les hypothèses principales suivantes sous-tendant les réductions prévues des cotisations annuelles à nos régimes de retraite en 2023 :
  • au moment opportun, la situation de capitalisation de nos régimes de retraite à prestations définies correspondra à des excédents évalués sur une base de continuité, les ratios de solvabilité demeurant supérieurs aux exigences minimales prévues par la loi pour une suspension des cotisations pour les composantes prestations définies et cotisations définies, selon ce qui s’applique;
  • aucune détérioration importante de la situation financière de nos régimes de retraite à prestations définies en raison d’une diminution du rendement des placements ou des taux d’intérêt;
  • aucune perte importante liée à l’expérience découlant d’autres événements, comme un litige ou un changement dans les lois, les réglementations ou les normes actuarielles ne sera subie.

Les hypothèses ci-dessus, bien qu’elles soient considérées comme raisonnables par BCE en date du 2 novembre 2023, pourraient se révéler inexactes. Par conséquent, nos résultats réels pourraient différer de façon importante des attentes exprimées dans la présentation qui suit.

Risques importants

Les principaux facteurs de risque, en conséquence desquels nos hypothèses et nos estimations pourraient être inexactes et les résultats ou les événements réels pourraient différer de façon significative de ceux qui sont exprimés ou sous-entendus dans nos déclarations prospectives, y compris notre orientation financière 2023, sont énumérés ci-après. La réalisation de nos déclarations prospectives, y compris notre capacité à atteindre nos résultats financiers cibles pour 2023, dépend essentiellement de la performance de notre entreprise qui, à son tour, est assujettie à de nombreux risques. Par conséquent, le lecteur est prié de noter que les risques qui suivent pourraient avoir une incidence défavorable importante sur nos déclarations prospectives. Ces risques comprennent, sans s’y limiter : l’incidence négative de la conjoncture économique défavorable, y compris une éventuelle récession et les pressions inflationnistes sur les coûts connexes, l’augmentation des taux d’intérêt et la volatilité des marchés des capitaux et des marchés financiers; l’incidence négative des circonstances défavorables associées aux événements géopolitiques; un niveau des dépenses des entreprises et des consommateurs en baisse et l’incidence négative sur la demande et les prix de nos produits et services qui en résulte; les initiatives, les procédures et les décisions réglementaires ainsi que les consultations gouvernementales et les positions gouvernementales qui nous touchent et qui touchent nos activités, notamment en ce qui a trait à l’accès obligatoire aux réseaux, aux ventes aux enchères de spectre, à l’imposition de codes de conduite à l’égard des consommateurs, à l’approbation d’acquisitions, à l’octroi de licences de radiodiffusion et de spectre, aux exigences relatives à la propriété étrangère, aux obligations liées à la vie privée et à la cybersécurité et au contrôle du piratage des droits d’auteur; l’incapacité à mettre en œuvre des cadres de conformité améliorés et à respecter les obligations légales et réglementaires; le règlement défavorable de litiges; l’intensité de l’activité de nos concurrents et l’incapacité à réagir efficacement à la dynamique en pleine évolution; le regroupement de Rogers Communications Inc. et de Shaw Communications Inc., ayant donné naissance à un concurrent canadien de plus grande envergure, et l’acquisition de Freedom Mobile par Vidéotron ltée qui augmente également son envergure et modifiera la dynamique concurrentielle dans plusieurs provinces; le rythme de substitution technologique et la présence d’autres fournisseurs de services qui contribuent aux perturbations et à la désintermédiation dans chacun de nos secteurs d’activité; l’évolution des habitudes des clients et l’expansion des services en nuage, des services par contournement et d’autres solutions; les pressions exercées sur le marché de la publicité provenant de la conjoncture économique, de la fragmentation et des services numériques non traditionnels mondiaux; l’augmentation des coûts du contenu et les obstacles à notre capacité à acquérir ou à concevoir du contenu de premier plan; la hausse du taux de pénétration des téléphones intelligents au Canada et la baisse ou le ralentissement de l’immigration; l’incapacité à protéger nos actifs corporels et incorporels contre des événements comme des atteintes à la sécurité de l’information, l’accès ou l’entrée non autorisés, des incendies et des catastrophes naturelles; l’incapacité à mettre en place une gouvernance efficace des données; l’incapacité à faire évoluer et à transformer nos réseaux, nos systèmes et nos activités au moyen de technologies de prochaine génération tout en aplanissant notre structure de coûts; l’incapacité à créer une expérience client positive; l’incapacité à attirer, à perfectionner et à conserver une équipe diversifiée et talentueuse capable de faire avancer nos impératifs stratégiques; l’incapacité à gérer adéquatement les préoccupations en matière de santé et sécurité; les interruptions de travail et les pénuries de main-d’œuvre; l’incapacité à maintenir des réseaux opérationnels; le risque que nous puissions devoir engager des dépenses d’investissement importantes, afin de fournir une capacité supplémentaire et de réduire la congestion sur nos réseaux; l’incapacité à assurer la constance du service en raison de pannes et de ralentissements de réseau, de pannes des autres infrastructures ou de l’interruption des services; les interruptions de service ou les pannes en raison de l’obsolescence de l’infrastructure traditionnelle et la possibilité d’une certaine instabilité au moment de notre transition vers des réseaux convergents sur fil et sans fil et des technologies plus récentes; notre propre incapacité, ou celle d’autres entreprises de télécommunications sur lesquelles repose la prestation de nos services, à effectuer les tests, la maintenance, les remplacements ou les mises à niveau prévus et appropriés de nos réseaux, de notre matériel et d’autres installations, ou des leurs, ce qui pourrait entraîner une interruption de nos activités, notamment par suite de défaillances du réseau ou d’autres infrastructures; les événements liés à la fonctionnalité de nos réseaux, de nos systèmes de technologies de l’information (TI), de notre équipement et de nos autres installations, ainsi que notre capacité à les protéger, à les tester, à les maintenir, à les remplacer et à les mettre à niveau; la complexité de nos activités; l’incapacité à mettre en œuvre ou à maintenir des processus et des systèmes de TI très performants; les risques liés au matériel en orbite et les autres risques opérationnels auxquels sont exposés les satellites utilisés pour fournir notre service de télé par satellite; notre dépendance aux tiers fournisseurs, aux impartiteurs et aux consultants qui nous fournissent de façon ininterrompue les produits et services dont nous avons besoin; la défaillance de nos processus de sélection, de gouvernance et de surveillance des fournisseurs, y compris notre gestion du risque lié aux fournisseurs en ce qui a trait à la sécurité, à la gouvernance des données et à l’approvisionnement responsable; la qualité de nos produits et de nos services et la mesure dans laquelle ils peuvent comporter des défauts ou ne pas être conformes aux normes et aux règlements gouvernementaux applicables; les risques de réputation et l’incapacité à intégrer efficacement les considérations relatives aux facteurs ESG dans notre stratégie d’affaires et nos activités; l’incapacité de prendre les mesures appropriées pour s’adapter aux impacts environnementaux actuels et émergents, y compris les changements climatiques; les pandémies, épidémies et autres risques pour la santé, y compris les préoccupations en matière de santé relatives aux émissions de radiofréquences par des appareils et des équipements de communication sans fil; l’incapacité à gérer adéquatement les enjeux sociaux; l’incapacité à développer et à mettre en œuvre de solides pratiques de gouvernance d’entreprise; divers facteurs internes et externes qui pourraient jeter un doute sur notre capacité à atteindre nos cibles en ce qui concerne les facteurs ESG, notamment, sans s’y limiter, celles liées à la réduction des gaz à effet de serre (GES) et à la diversité, à l’équité, à l’inclusion et appartenance; l’incapacité à accéder à des sources de capital adéquates et à générer des flux de trésorerie liés aux activités d’exploitation suffisants pour répondre à nos besoins de liquidités, financer les dépenses d’investissement et soutenir la croissance planifiée; l’impossibilité de garantir que des dividendes seront déclarés par le conseil d’administration de BCE ou que le dividende sur actions ordinaires sera majoré; l’incapacité à gérer les différents risques de crédit, de liquidité et de marché; l’incapacité à réduire les coûts, ainsi que toute augmentation imprévue de coûts; l’incapacité à faire évoluer nos pratiques afin d’effectuer un suivi et un contrôle efficaces des activités frauduleuses; des impôts nouvellement exigés ou plus élevés découlant de l’adoption de nouvelles lois fiscales ou de modifications apportées aux lois fiscales existantes ou à leur interprétation, et l’incapacité à prévoir l’issue des audits gouvernementaux; l’incidence sur nos états financiers et nos estimations d’un certain nombre de facteurs; la volatilité des obligations au titre des prestations de retraite; l’accroissement des cotisations aux régimes d’avantages postérieurs à l’emploi et la conclusion prévue de l’acquisition proposée de l’entreprise canadienne d’affichage extérieur OUTFRONT Média Inc., et le moment auquel elle devrait avoir lieu, qui sont assujettis à des conditions de clôture et à d’autres risques et incertitudes, et rien ne garantit que les avantages attendus se réaliseront.

Nous prévenons le lecteur que la liste de facteurs de risque qui précède n’est pas exhaustive et que d’autres facteurs pourraient avoir une incidence défavorable sur nos résultats. Nous encourageons les investisseurs à lire également le rapport de gestion annuel de 2022 de BCE daté du 2 mars 2023, le rapport de gestion du premier, du deuxième et du troisième trimestre de 2023 de BCE daté du 3 mai 2023, du 2 août 2023 et du 1er novembre 2023, respectivement, et le communiqué de presse de BCE daté du 2 novembre 2023 annonçant ses résultats financiers pour le troisième trimestre de 2023 pour obtenir plus de détails au sujet de certains des facteurs de risque et hypothèses mentionnés et d’autres facteurs de risque et hypothèses. Ces documents sont tous déposés par BCE auprès des autorités des provinces canadiennes en valeurs mobilières (disponibles à Sedarplus.ca) et de la Securities and Exchange Commission des États-Unis (disponibles à SEC.gov) et sont également disponibles à BCE.ca.